OYEZ OYEZ
Je me fais une joie de venir à vos tournois,
Malgré qu'il me faille traverser cette dangereuse Ardèche,
Au risque de croiser des coupeurs de jarrets dans la dèche,
ET aussi de drôles d'animaux dont je ne connais rien,
Et que soit parfois semé d'embuches tous ces chemins,
La récompense nous attend au bout de cette route,
Bien m'a pris d'aiguiser mon fléau d'arme de joute.
Nous voici accueillis par le maitre des lieux,
Notables, chambellan et les chevalier preux,
Et bien faites sonner trompettes et hautbois...
Pour annoncer l' ouverture du grand tournoi...
L'instant m'est heureux, nobles gents et gentes dames, de contre vous guerroyer.
En lisse !
Gérard-Louis Meunier-jacquier
dernier du nom